Aidez Jakub, libre pour Noël ?

Le jugement a lieu aujourd'hui, priez pour lui et aidez-nous à l'aider.

Merci

Nous avons déjà versé 1'000, mille dollars à son avocate.

Triste de vous annoncer le report du jugement au mois de janvier...

https://drive.google.com/drive/folders/11rG6CcvkqkzYewpFzkPs9JMlQ3tVTCWq?usp=sharing





Triste de vous annoncer le report du jugement au mois de janvier...

L'Indonésie utilise une guerre chimique pour tuer des citoyens innocents en Papouasie. Jakub, un touriste polonais, domicilié en Suisse, voyageant en Indonésie et désireux de protéger ces victimes innocentes, est maintenant en prison à Wamena, en Indonésie, sans aucun procès depuis août 2018. Il risque sa vie ! S'il vous plaît, libérez-le dès que possible et arrêtez toute guerre chimique en Indonésie.
PS: Vous pouvez avoir plus d'informations à ce numéro de téléphone ++ 41 21 616 88 88 88 ou sur les sites internet ci-dessous.

De nombreux Papous se sentent victimes de discrimination et considèrent les autres Indonésiens comme des envahisseurs14 mais leur mouvement est réprimé, même en cas de protestation pacifique.
L'Organisation pour une Papouasie libre (Organisasi Papua Merdeka / OPM), réfutant l'accord de New York, y mène une guerre de basse intensité depuis les années 196015. En plus des armes à feu, le mouvement utilise également des armes traditionnelles telles que les lances16. Toutefois depuis les dernières années, les Papous peuvent avoir accès à toutes les fonctions de responsabilité17,18. Il faut cependant rappeler que les Javanais constituent 40 % environ de la population de ces provinces17 et que la région est riche en ressources, ce qui suscite bien des convoitises et des rivalités, ce qui suggère qu'il s'agirait avant tout d'un conflit politique et non ethnique16, bien que l'armée et la police indonésiennes commettent de nombreuses exactions contre les Papous.
En 2001, l'assassinat de Theys Eluay porte un coup dur à l'Organisation pour une Papouasie libre. Depuis 2008, on assiste toutefois à une recrudescence accrue des actes de guérilla contre l'armée indonésienne. Le , la police indonésienne parvient pour la première fois à attaquer un QG d'une cellule de l'organisation, résultant en la mort de 14 séparatistes et la saisie d'armes à feu, de couteaux, d'équipements, de documents et de drapeaux séparatistes19. Un bilan en 2011 fait état de 100 000 déplacés1 et de 150 000 à 400 000 tués2,3 depuis le début de l'insurrection.
En 2014 est fondé le Mouvement uni pour la libération de la Papouasie occidentale, comme mouvement indépendantiste politique, par opposition à un mouvement de guérilla20.

Exactions commises par l'armée indonésienne[modifier | modifier le code]

L'armée indonésienne s'est rendue coupable dans sa lutte contre les séparatistes papous de nombreuses exactions contre des civils, allant jusqu'à massacrer des villages entiers, sous prétexte que les villageois seraient des sympathisants de l'OPM.
L'accès du territoire est très difficile pour les étrangers, ce qui rend les observations quasi-nulles. La zone est autant dire considérée comme militaire et contrôlée par l'armée Indonésienne. Le tourisme est inexistant, et un laisser-passer est exigé pour les rares journalistes étrangers présents sur place, et concentrés à Jayapura. La plupart des demandes de journalistes de se rendre en Papouasie occidentale sont rejetées, de même que celles des travailleurs humanitaires. Ainsi, la Croix rouge reste interdite de visite. Les visas sont, de même, généralement refusés à la plupart des chercheurs souhaitant travailler en Papouasie occidentale.











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